Poésies
Les Etoiles si brillantes que je vois dans tes yeux, c’est cupidon qui se glisse dans les draps de Morphée…
Majesté Pénélope, plus belle qu’Aphrodite et Vénus à la fois !
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Hier comme hier, je serai ton écuyer.
Je serais larbin, tu serais princesse, je serais ton prince, tu serais ma cavalière.
Je serai fier de t’ouvrir les barrières du cimetière qui nous enferme pour repartir à Cythère.
Sur ton cheval blanc comme hier, quel prestige, la beauté de ta lumière pour m’emmener.
Dans nos alcôves, où pour la première fois il neige.
À Cythère se reflètent les rayons du soleil sur le blanc neigeux de tes yeux majestueux.
Tout est lumineux comme hier, un songe bleu habillé de blanc nous transporte amoureux jusqu’aux cieux, la neige éternelle accompagne nos vœux en nuages romantiques dans ce beau ciel merveilleux.
Cette nuit, une lumière céleste m’est apparue en fixant le beau rayon lumineux de la beauté de tes yeux, puis toucher en plein cœur par ta grâce.
Merveilleuse et heureuse. Un bonheur absolu, incongru que j’étouffe par mille feux, par mille fois le moindre son de ma voix pour entendre le souffle chaud si doux de ta bouche, comme une touche de miel soyeux sur cette mélodie angélique. Magnifique ce baiser que tu m’as pris, pour mon plaisir, ce baiser que je t’ai rendu.
Les étoiles autour de nous, dans le velours du noir qu’est notre alcôve nocturne, l’air ambiant nous caressent de l’espoir d’éclairer sur les ombres de la nuit nos deux astres en étoiles scintillantes, habillées de blancs éclairs sans orages en étoiles filantes pour mélanger nos deux âmes dans un tourbillon sensuel et mystique, la magie pleine de grâce au céleste éternel où Hathor
Nous reçoit avec joie dans ses bras pour célébrer le mariage de l’amour et de la musique, sans trahir le mélange de nos cœurs, pour toujours.
Cette vague de chaleur qui tressaille sur le bas de ton ventre
Tes doigts qui grattent le frisson sur mon dos
C’est comme un glaçon qui flotte sur l’eau de ta bouche pimpante, soufflant les vagues.
En fracas sur les rochers, moi j’accoste en urgence sur tes îlots sans passeport et sans passe-droit.
Je reste droit comme un marin à la barre exotique de tes seins, tu me fais boire la dernière tasse.
Du divin jusqu’aux abysses de tes reins, sans artifices, sans secours, je plonge sans les sirènes.
Au fond de ton sublime jardin de perles d’argent pour y découvrir l’Atlantide de nymphes merveilleuses, qui, dans tes yeux, me réclame de descendre plus bas avec elles dans leurs cieux si profonds.
Dans un toboggan d’étoiles sucrées au sorbet citron
Sans serpents ni venins, je croque ta pomme d’amour.
Jusqu’aux sables mouvants de ton âme féconde et vagabonde, comme une bombe, tu exploses, t’extases sur moi.
D’une féroce véhémence, en puissance, je tisse ma toile et referme avec force mon ardeur sur ton cœur.
mes feux amoureux eurent raison de ton audace.
Je m’effondre de bonheur sur ton cœur de Vénus amoureuse.
Les nuages qui grondent dans le ciel rouge de vos yeux qui me chassent et pestent mes faveurs.
Sans rancœur sur mon cœur, boudant d’êtres sur le fil prédateur de la toile d’araignée.
Comme un Roméo perdant sa Juliette, comme un chien de faïence, un Apollon à qui l’on dit Non.
Un bel ami soumis à vos lois et humeurs. Jean de Nivelle qui pleure votre cœur, le bonheur d’obtenir vos faveurs.
L’énergie que provoque l’espoir de te revoir, chaque soir l’espoir de revoir ton aura et ta tendresse, caresse chaque matin d’une ivresse remplie d’un rêve si doux qu’il caresse l’alcôve magique de mes illusions pour devenir encore réalité quelques minutes, dans les chimères de mon âme rêveuse,
Au-dessus d’un éphémère temps mélancolique sans sucre ni amertume.
Une auréole bleu ciel aux contours de tes yeux, de ta bouche sucrée-salée qui redresse mon ardeur en frissons sensationnels, le bonheur en extase, le nirvana au bout de mes bras, la magie de ta bouche sur ma bouche en feux.
La pureté des flammes de nos âmes sensibles, sanguines et féeriques.
Ulysse est en nous par sa ruse et sa force, il habille notre dessein pour une idylle qui forge le destin pour de plus beaux lendemains.
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L’adversité n’a plus de secret sur le viaduc de mon cœur, tu danses sous les tonnerres aux sonneries joyeuses et envoûtantes, le bonheur sensationnel de ton cœur plein de joies pour ramener tout l’éclat de ta grâce qui s’éparpille sur moi.
C’est un ruisseau aux couleurs de l’arc-en-ciel qui coule avec joie à travers des nuages amoureux.
Qui se prélasse de nos joies divines, c’est la grâce qui nous ouvre toute l’extase de nos ébats.
Comme un aigle sans ailes, je me pose un instant à ses pieds ; de velouté, j’ose un baiser de toute beauté. Sans ailes, elle pose un baiser sur ma bouche qui parfume les étoiles, sucrées de vanille.
Qui s’animent d’un céleste chant amoureux, qui sans ailes se posent sur notre parure de draps décorés
De fleurs et de blanc.
Sans ailes, tes jambes se posent sur mon ventre chaud bouillant pour mettre fin à nos échanges si libertins dans le sable mouvant magmatique, maigre butin pour obtenir d’autres refrains.
Je m’endors sans elle dans le divin fleuve éternel.
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Sans une galère, lentement dans la mélodie des fées habillées par Morphée.
D’un collier de perles d’argent, en un soyeux gant scintillant, caresse le temps qui m’apaise royalement dans les songes aphrodisiaques, vêtus de paysages d’arcs-en-ciel étincelants.
Dans la magie de la brume charnelle de ton corps, j’aperçois les prémices d’une alcôve frénétique.
L’érotisme au paroxysme du sensuel qui se dresse avec tendresse dans les flammes de la nuit, de mon amour qui brule toujours, devenir Sisyphe pour toutes les nuits à venir.
Les chimères bleues azur se transforment en une silhouette féminine souriante dans un cortège de nymphes et de sirènes aux auréoles lumineuses de bleu et de rose dans les blancs décors de roses.
Où mes yeux ébahis ne clignent qu’une fois sur deux.
C’est mon âme toute entière dans cette ambiance carnavalesque qui respire toute sa joie.
Un spectacle gravé à jamais comme un astre au plus haut de mon être intérieur.
De grâce, toute mon âme est restée pour longtemps prisonnière de ton astre, pour toujours esclave de ton âme.
Depuis que tu es descendue toute sensuelle de l’arc-en-ciel Aphrodite, je n’ai jamais cessé de t’aimer.
De tous mes rêves qui forment mon être.
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C’est ton aura qui comblera l’existence intense et sensuelle de mon âme.
Pour ton corps, de ton astre sur mes joies, dans la toile magique de tes désirs.
Pour rester prisonnier de nos désirs, par tes baisers je suis comblé sans pouvoir
M’arrêter de danser sur ta bouche ambitieuse, je reste par mes mouvements sensible au moindre vent de tes désirs, j’obéis fougueux comme un cheval ténébreux devant les tonnerres en feux.
Dans la nuit brûlante de nos festivités, arrive le grand bal habillé de vapeurs d’orgasmes.
Qui, dans ses draps de soie, nous emporte au jardin féérique de Morphée, sa majesté onirique.
De son souffle nous transporte dans cette nuit magistralement chimérique.
Aphrodite s’agite vers l’orgasme malicieux, qui se glisse en magie dans nos vapeurs de la nuit.
Comme une vodka-citron, je reste le colonel suprême pour te dicter ma loi, mais seulement toi peux désarmer mon arsenal, un seul clignement de tes yeux pour dissoudre Hiroshima dans un nuage heureux. Les mots ont de la valeur, mais la parole les déshonore.
Le parfum des malices Quand ta bouche serre mes lèvres, je déguste le miel de fleurs en puissance.
De salive exquise.
C’est de la magie chimérique en big bang dans mon âme explosive, nos baisers sans limite pour le
Feux d’artifice d’étoiles qui brillent par millions d’étincelles vivaces, explosions en beautés.
Dans l’univers qui s’allume comme des éclairs.
Un spectacle de lumières célestes, la vision du divin éternel, le paradis de la beauté que je vois dans tes yeux, qui éclaire la magie de tes yeux, pour la vie.
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Le nuage bleu caresse le brumeux qui nous entoure, l’aile droite de ton fuselage laisse une larme.
Tiède et glissante sur ton visage en beauté de walkyrie, la beauté poétique d’un timide sourire.
Laisse trahir un soupçon semblant de frustration, laissant glisser ton artillerie à tes pieds.
Je n’ose avancer pour t’offrir un baiser.
Nos baisers flamboyants en un ouragan de tendresse, un arc-en-ciel en fleurs de mille couleurs
Dans le ciel flambant neuf, sous nos yeux amoureux du spectacle merveilleux d’une alcôve enflammée par les cieux.
Un plafond de pacotille métamorphosé en une fresque fabuleuse de couleur digne de la naissance de Vénus et du jugement dernier.
La peinture sous les ongles des anges artistes et divins, leurs cieux éternels.
Intemporel spectacle du divin peintre créateur, son aura se glisse sur la toile en chef-d’œuvre infini dans l’univers, pour reproduire tes yeux dans ce cosmos amoureux, pour gouter le lagon bleu de ta bouche qui coule comme le glissement d’un ruisseau magique et parfumé au bord de mes lèvres ; mon être en puissance t’enlace pour t’emmener danser sur les rives de Vénus, sur le bord du Danube.
Devant les yeux fixes et forts des kobolds extasiés de regarder la romance de nos baisers, magiques et enchantés pour l’éternité.
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Ce matin, dans la vapeur odorante de mon café, la brume de mes pensées s’est dispersée.
Pour laisser apparaitre l’étincelle d’un songe merveilleux, la vision prometteuse d’une alcôve
Unique dans l’univers du sensuel qui t’anime. Le frémissement du coquin caresse nos sens.
En puissance devant la providence, c’est l’explosion en moi qui souffle sur le soleil brulant de ton ventre. C’est comme le spectacle divin d’un ciel rouge et orange habillé par des anges.
Vêtus de blanc, une harpe à la main pour nous jouer la romance divine, des mélodies qui s’animent.
Par un spectre d’étoiles d’argent sous un ciel aveuglant de son aurore étincelante.
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